C’est une histoire qui commence paradoxalement par le mot « FIN ».
Celui de mon tout premier roman. Les mains fébriles, je l’imprime, le relie.
Il est prêt -même si, soyons honnête, pour l’instant il ressemble vraiment à un bon gros rapport de stage…-
Hébetée, je souris, contemplant le fruit de mes idées folles… « Le goût du bonheur » n’est pas que le titre de ce manuscrit, c’est aussi ce que m’évoque le métier d’auteur.
Quand soudain: « Et après? » … C’est LA grande question que tout apprenti écrivain doit se poser, j’imagine. Suivez-moi au travers cet épineux périple, et sutout, surtout: croisez-les doigts pour moi!